(page n°60, 2 pages)
L’acte de bâtir, bien que programmé, tend de plus en plus à reproduire le schéma originel avec les inconscients bureaucratiques, sans les avantages d’une sociabilité encore vivace.
A l’origine, les constructeurs réalisaient leurs habitations en fonction des contraintes en vigueur dans le voisinage et le reste du sol devenait espace de circulation pour piétons ou attelages. Il en a résulté des villes et villages harmonieux, à l’échelle locale et internationale: le M’zab, la Casbah, les Aurès, la Kabylie, etc., en témoignent.
Et ce, sans le moindre permis de construire, mais tout contrevenant subissait le courroux de la communauté.