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Par Meriem NAIMI-AIT AOUDIA
Architecte urbaniste, Enseignant-chercheur, Université de Blida
Laboratoire VUDD/EPAU Alger
Nul ne peut contester aujourd’hui la responsabilité des villes dans la dégradation de l’environnement. Lieu de concentration de population et de richesse, la ville fonctionne comme un écosystème complexe qui, pour survivre, a besoin à la fois d’être approvisionnée en eau, en énergie et en matière première et de rejeter des déchets sous différentes formes. Par conséquent, elle est dépendante tant de la disponibilité des ressources que de la capacité d’absorption des milieux récepteurs environnants, en l’occurrence l’air, l’eau et le sol.