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Au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, les centres-villes hérités de la période coloniale vont continuer à jouer un rôle primordial dans le fonctionnement des villes algériennes. Ces centres-villes et particulièrement celui de Constantine, où domine l’architecture art déco et néomauresque, sont constitués de bâtiments à caractère administratif ou culturel et un grand nombre d’habitations collectives ou individuelles. Concernant ces dernières, nous assistons, à la suite du départ massif des Européens, à une occupation massive par la population algérienne des édifices laissés «biens vacants».
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